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Post de Marie-Noelle Lemay

Implantation du RADAR


Bonjour, je travaille dans un hôpital de réadaptation et de soins palliatifs et nous désirons implanter l'utilisation du RADAR pour pouvoir faire un dépistage plus efficace du délirium, d'autant que notre clientèle est principalement gériatrique.


J'aimerais savoir quels sont les défis mais aussi les agents facilitants que vous avez pu rencontrer dans vos milieux lors de l'implantation du RADAR. Nous espérons en faire une réussite et voulons mettre toutes les chances de notre côté dès le départ.


Un des enjeux que nous pouvons déjà anticiper est que nous utilisons désormais la FADM électronique (PandaWeb) et donc le personnel ne se promène plus nécessairement avec des cartables lors des tournées, mais il n'est pas dit que cela ne sera pas modifié.


Merci de partager votre expérience précieuse.


++++ voici ma réponse:


27 vues
Marie-Noelle Lemay
Il y a 5 heures

Merci pour cette réponse élaborée qui répond grandement à mes questions et nous offre des pistes de réflexions intéressantes.

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Diana  Gomez Litan Diana Gomez Litan
Diana Gomez Litan
Hier · a publié dans Questions générales

Vieillissement normal versus pathologique

Bonjour à tous,Je suis infirmière praticienne spécialisée en première ligne et, au-delà de mon rôle professionnel, j’accompagne actuellement ma grand-mère qui vit avec plusieurs troubles cognitifs. Cette expérience personnelle m’amène à réfléchir sur le vieillissement normal – un processus naturel, graduel, marqué par des changements physiques et cognitifs qui n’affectent pas l’autonomie – versus le vieillissement pathologique, qui correspond à l’apparition de maladies chroniques, de pertes fonctionnelles ou de troubles cognitifs anormaux, souvent évitables ou mieux gérables avec une prise en charge précoce.Dans cette démarche, j’aimerais revoir avec vous les définitions de ces deux types de vieillissement car j'aimerai faire une petite capsule video rapide pour les gens qui passent les memes épreuves que moi. Merci d’avance pour vos partages et éclairages. Merci, Diana

35 vues

 

Bonjour Madame Gomez Litan,

Merci beaucoup pour ce partage à la fois humain et professionnel. Vous soulevez une question essentielle dans notre compréhension du vieillissement.

En gérontologie, on distingue en effet deux grands types de vieillissement :

  • Le vieillissement normal (ou usuel/habituel), qui correspond aux changements physiologiques naturels associés à l’âge, mais qui n'affecte pas l'autonomie ni la qualité de vie.

  • Le vieillissement optimal (ou réussi), qui se caractérise par une préservation exceptionnelle des fonctions physiques, cognitives et sociales, sans recours à des traitements médicamenteux ni présence de maladies.

Quant au vieillissement pathologique, il s'agit d’un terme parfois utilisé en contexte clinique pour désigner l’apparition de maladies chroniques, de troubles cognitifs sévères ou d’une perte d’autonomie. Toutefois, ce terme est peu utilisé en gérontologie, car il tend à confondre le vieillissement en tant que processus naturel (étudié en gérontologie) avec les maladies (relevant de la gériatrie) — des entités distinctes, bien que souvent imbriquées.

On préfère ainsi parler de fragilité pour désigner l’état de vulnérabilité accru de certaines personnes âgées, lié à une diminution des réserves physiologiques liée au vieillissement et aux maladies. Ce concept permet de faire des liens avec les risques qui y sont associés : chutes, perte d’autonomie, hospitalisation…

Enfin, il est important de souligner que certaines personnes considèrent vivre un vieillissement « réussi », même en présence de maladies ou de limitations fonctionnelles, parce qu’elles conservent un sens à leur vie, des liens sociaux solides, ou une autonomie dans leurs décisions. Cela illustre bien la richesse et la complexité du vieillissement, et la nécessité d’en avoir une lecture nuancée.

Bonne chance pour votre capsule vidéo, et encore merci pour cette belle initiative de partage et de réflexion !

Merci pour votre question

Philippe

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roxane côtéroxane côté
roxane côté

Nous avons un résident qui manifeste le besoin de toucher +++ les employés tant hommes et femmes, résidents, résidentes.

Nous avons exploré certains aspects avec l'épouse qui ne veut plus trop parler de ce sujet. Par contre, après réflexion sur la formation, on pourrait valider certaines pistes.

Il y a déjà un plan occupationnel en place. 

Le résident n'exprime pas vouloir des rapports sexuels mais il recherche plutôt des contacts physiques. 

Les résidentes vers qui il veut aller sont vulnérables comme vous l'expliquez dans la formation et n'ont pas la capacité à donner leur consentement.

Pour le moment, nous essayons de le distraire +++, lui faire pratiquer des activités physiques car il est assez autonome.


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Prof Voyer
Prof Voyer
Avant-hier

Bonjour madame Côté,

Merci pour votre question, qui témoigne d’une volonté d’accompagner ce résident avec respect, tout en protégeant les autres usagers et en tenant compte de la complexité de la situation. Votre approche est à souligner : vous cherchez un équilibre entre la reconnaissance des besoins affectifs (et peut-être sexuels) du résident et la protection des personnes vulnérables de son entourage.

Voici quelques pistes de réflexion :

1. Reconnaissance des besoins et respect du consentement

  • Il est essentiel de rappeler que les besoins affectifs et sexuels font partie intégrante de la personne humaine, y compris en contexte de soins.

  • Vous faites bien de vous soucier de la question du consentement, surtout auprès des résidents vulnérables qui ne peuvent pas l’exprimer de manière éclairée.

  • Même si le résident ne demande pas de rapports sexuels, le contact physique répété, sans consentement, peut porter atteinte aux autres et doit être encadré.

2. Place de la famille

  • Il est souhaitable d’impliquer la famille, mais seulement dans la mesure où cela est possible et respectueux de chacun.

  • Si l’épouse ne souhaite plus être impliquée activement, vous pouvez choisir de l’informer plutôt que de la consulter pour chaque décision. Cela peut préserver une relation familiale importante pour le résident tout en respectant le malaise exprimé.

3. Importance de l’occupationnel et de la diversion

  • Vous avez raison de miser sur les activités physiques et sociales, qui sont souvent de bons moyens de réduire les comportements envahissants.

  • Il pourrait être utile d’approfondir l’histoire de vie du résident afin de mieux comprendre la nature de ses besoins affectifs et les manières appropriées d’y répondre. Ses habitudes antérieures pourraient orienter vos interventions.

4. Exploration de solutions alternatives

  • Si le besoin de contact physique est fort, certaines approches alternatives peuvent être envisagées :

  • Zoothérapie: plusieurs résidents trouvent dans ces interactions une source de réconfort, de chaleur et de lien affectif.

  • Animaux mécanisés : chien, chat, etc.

  • L’implication dans les loisirs et les programmes de marches sont à considérer.

5. Prudence et ajustements continus

  • Compte tenu de l’évolution possible de son état neurocognitif, il est essentiel de rester vigilant et de réajuster régulièrement les approches. Il faut préserver le lien avec les proches.

 

Votre démarche est sur la bonne voie. Continuez à observer, documenter et ajuster vos stratégies. L’accompagnement des besoins affectifs en contexte de soins est complexe, mais des approches créatives, individualisées et bienveillantes peuvent faire toute la différence.

N'hésitez pas à consulter une équipe interdisciplinaire (psychoéducateur, ergothérapeute, sexologue, etc.) pour élargir les pistes d'intervention.


Merci

Philippe

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Marilene  CoulombeMarilene Coulombe
Marilene Coulombe

Dernière version MOCA

Bonjour, Nous utilisons actuellement le MOCA version 7.1. Toutefois, j'ai trouvé sur différents sites internet une version 8.1. j'aimerais savoir quelle est la dernière version du MOCA que nous devons utiliser dans nos milieux de soins. Merci infiniment et au plaisir

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Bonjour,

La dernière version est bien la 8.1. Vous pouvez la télécharger gratuitement dans le site mocacognition.com/fr/version-papier/ Le guide d'administration de cette version et la version 8.1 se trouvent aussi dans les documents complémentaires de la formation 2.01 à des fins éducatives.


Merci pour votre question pertinente.

Philippe

NB: le processus d'administration est fondamentalement le même.

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Gestion des relations en lien avec l'errance intrusive

Bonjour Philippe,


Un résident de l'UP, déteste que d'autres résidents, présentant de l'errance intrusive, entrent dans sa chambre.  Le comportement des autres résidents lui cause de la frustration et de la colère, ce qui le pousse à faire des crises violentes.  Il est atteint lui aussi d'un TNC. Afin de palier la situation, les PAB verrouillent sa porte et ont confié au résident, une clé qu'il utilise bien et il n'oublie pas de verrouiller la porte, la déverrouillant par lui-même sans recours aux PAB et il ne perd pas sa clé.   


Est-ce qu'une solution, afin de ramener du calme dans l'UP, serait de le relocaliser dans une autre section de la résidence (pas une UP), afin qu'il soit plus en paix, malgré son TNC ?  En d’autres mots, serait-ce une solution à ses SCPD ?


Merci Philippe pour tes excellents conseils !

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Bonjour Philippe,


Encore une fois, une réponse très détaillée qui nous permettra de poursuivre notre réflexion sur cette situation. Pour ma part, je constate que les critères invoqués pour admettre une personne en UP, sont parfois un peu vagues ou subjectifs et limités. On pourrait croire que le résident y est admis sur des aspects assez généraux, notamment en lien avec la mobilisation (et les TNCM, bien entendu).


Tout le monde sait que les les TNCM sont une maladie évolutive, qui ne se déclare pas soudainement. Donc je comprends, qu'une analyse éclairée des SCPD exprimés par le résident et la connaissance de son histoire biographique, pourrait nous amener à choisir un hébergement hors UP, même si ce dernier présente un certain niveau de TNC, dans le respect de sa propre sécurité et de celle des autres.


J'ai l'impression que le classement d'un résident est plus orienté vers le diagnostic du résident, ce qui à mon sens est limitatif et pourrait ne pas répondre adéquatement à ses besoins d'évoluer dans un milieu de vie en hébergement de soins.


Merci pour ton éclairage qui nous aide beaucoup à orienter notre réflexion en priorisant les besoins du résident.


Stéphane



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Limitation des déplacements pour une personne présentant un TNCM

Bonjour Philippe,


Nous avons une unité prothétique dont tous les résidents sont atteints de TNCM.  Certains ont de grandes difficultés de mobilité et doivent utiliser des aides à la marche (fauteuil, marchette).

 

Le personnel infirmier, demandent que l'on installe des systèmes de détection (tapis/infrarouge) afin que les PAB puissent rapidement se rendre auprès du résident et l'accompagner en les suivant pas à pas pour les retourner à leur chambre/lit.  Je suppose qu'il s'agit du critère "infrastructure adaptée" pour assurer la sécurité et le bien-être des résidents. 

 

Cependant, j'ai l'impression que l'on ne va pas dans le bon sens, du fait que les résidents ne sont plus libres de leur déplacement, que les PAB les ramènent directement à leur chambre.  Je crois que l'on doit tous adopter une attitude de gestion du risque, comme tu nous l'enseigne, en ne se précipitant pas auprès du résident qui vient de déclencher…


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Bonjour Philippe,


Merci pour ta réponse très complète et éclairante, comme c'est ton habitude. Les points que tu soulèves vont dans le sens de mes préoccupations afin de rendre nos UP, plus fonctionnelles et sécuritaires, en faisant appel à une gestion équilibrée des besoins des résidents et de la dotation du personnel soignant.


Assurément, le point sur lequel je me propose de travailler en priorité avec les équipes, sera de bien identifier les motifs qui amènent le besoin de déplacement du résident, en lien avec les SCPD. Bien entendu, la subtilité et l'adaptation sont de mise dans la mise en place de mesures de gestion de l'UP, considérant la diversité et la complexité des situations qui s'y retrouvent.


Encore merci !


Stéphane

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Dolorès GilbertDolorès Gilbert
Dolorès Gilbert

Demande de recommandations concernant l'utilisation de mesures de contrôle au lit pour une résidente

Bonjour,

Je suis infirmière clinicienne, assistante du supérieur immédiat en CHSLD. Je sollicite votre avis et vos recommandations concernant une situation clinique particulière.

Nous avons actuellement une résidente qui se déplace de façon autonome en fauteuil roulant, en se propulsant seule, et qui est également capable de se mobiliser seule dans son lit durant la nuit. Il y a plusieurs années, elle a subi une chute de son lit ayant entraîné des conséquences, bien que la nature exacte de celles-ci soit difficile à préciser à partir du dossier médical.

Depuis cet événement, la famille insiste fermement pour que quatre ridelles soient installées sur le lit lorsque la résidente y est couchée. Étant donné que la résidente est incapable d'utiliser la cloche d'appel ou de demander de l'aide verbalement ou autrement, l'usage des quatre ridelles est considéré comme une mesure de contrôle.

Malgré plusieurs tentatives de concertation avec la famille et…


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Madame Gilbert,

Merci de nous avoir partagé cette situation clinique complexe et délicate. Je comprends qu’il est particulièrement difficile de naviguer dans des contextes où les intérêts de la résidente et les préoccupations de la famille divergent, surtout lorsqu’il s’agit de décisions ayant un impact direct sur le bien-être de la personne soignée. Voici mes recommandations pour répondre à vos préoccupations, en tenant compte des éléments que vous avez mentionnés.


1. Reconnaissance de la complexité de la situation

Tout d’abord, je reconnais que cette situation est complexe et émotionnellement exigeante, tant pour l’équipe soignante que pour la famille. Prendre des décisions dans l’intérêt d’une personne vulnérable, tout en respectant les volontés de ses proches, représente un défi éthique et clinique. Les deux parties souhaitent manifestement protéger la résidente, mais des divergences d’opinion persistent quant à la meilleure approche.


2. Données scientifiques sur l’impact des contentions

Pour éclairer la discussion avec la famille et l’équipe interdisciplinaire, je suggère de s’appuyer sur des données probantes concernant l’utilisation des contentions, telles que les ridelles de lit. Les études scientifiques démontrent que l’usage prolongé de contentions physiques, y compris les ridelles, peut avoir des effets délétères sur le bien-être physique, psychologique et cognitif des personnes âgées. Il serait important d’en avoir sous la main. Par exemple :

  • Impact physique : Les contentions augmentent les risques de blessures, notamment par strangulation, étouffement ou coincement. Des rapports de coroners au Québec et ailleurs ont documenté des cas tragiques où des résidents sont décédés par strangulation ou asphyxie liée à des ridelles, soulignant que ces dispositifs, bien qu’installés pour protéger, peuvent paradoxallement accroître les risques.

  • Impact psychologique : Les contentions peuvent engendrer du stress, de l’anxiété et une diminution de la dignité, contribuant à une détérioration de la qualité de vie.

  • Impact cognitif : La restriction de la liberté de mouvement peut accélérer le déclin cognitif et favoriser le développement de delirium.


Présenter ces données de manière claire et empathique lors d’une rencontre avec la famille peut parfois ébranler des convictions ancrées, bien que cela ne garantisse pas un changement de position. Je trouve utile d’illustrer ces risques avec des exemples concrets, comme les cas documentés par des coroners, tout en soulignant que l’objectif est de maximiser la sécurité et le confort de la résidente.


3. Collaboration avec le commissaire aux plaintes et à la qualité des services

Lorsque la situation n’avance pas… Je recommande de travailler en partenariat avec le commissaire aux plaintes et à la qualité des services de votre établissement. Ce dernier, en tant que tiers neutre, est mandaté pour évaluer les situations dans l’intérêt exclusif de la personne soignée. En lui présentant les données scientifiques, les observations cliniques de l’équipe et les protocoles de surveillance en place, je pense que vous pourrez solliciter son avis et son soutien pour réévaluer la pertinence des ridelles. Le commissaire pourrait organiser une médiation avec la famille ou formuler des recommandations officielles, ce qui pourrait renforcer votre position.


4. Recours aux leviers légaux en cas d’effets négatifs

Si, malgré ces démarches, la famille persiste dans son refus et que des effets négatifs liés à l’utilisation des ridelles sont observés (ex. blessures, détresse psychologique, ou incidents documentés), je vous informe que le Code civil du Québec offre des mécanismes pour protéger la résidente. Si la représentante légale semble prendre des décisions contraires à l’intérêt de la personne qu’elle représente, je suggère d’envisager une démarche auprès du tribunal pour demander une révision de la décision. À ce stade, il sera essentiel de collaborer avec le service juridique de votre établissement pour documenter rigoureusement les impacts cliniques des ridelles, les tentatives de concertation, et les refus de la famille. Le tribunal pourrait alors ordonner une modification des mesures en place pour mieux répondre aux besoins de la résidente.


5. Protection de la résidente et de l’équipe

Pour protéger la résidente et l’équipe soignante dans l’immédiat, je vous suggère de :

  • Poursuivre une documentation rigoureuse : Consignez toutes les évaluations, les discussions avec la famille, les observations cliniques et les mesures de surveillance appliquées. Cette documentation sera cruciale en cas d’événement indésirable ou de recours juridique.

  • Explorer des alternatives : Continuez à proposer des solutions de rechange aux ridelles, comme un lit à hauteur ajustable, des matelas au sol, des alarmes de mouvement, ou des dispositifs de protection moins restrictifs (système RADAR de Living Safe). Même si la famille a refusé ces options jusqu’à présent, maintenir le dialogue et documenter ces propositions renforce votre démarche.

  • Former et soutenir l’équipe : Assurez-vous que le personnel est bien formé aux protocoles de surveillance des contentions et conscient des risques associés aux ridelles. Cela peut réduire les risques d’incidents et protéger l’équipe en démontrant que toutes les précautions raisonnables ont été prises.

 

En somme, je vous encourage à poursuivre vos efforts de concertation en vous appuyant sur des données scientifiques probantes et en collaborant avec le commissaire aux plaintes de votre établissement. Si des effets négatifs sont observés, envisagez une démarche juridique avec l’appui de votre service juridique. Enfin, maintenez une documentation rigoureuse pour protéger la résidente et l’équipe.


Bonne chance


Philippe

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Paola GiglioPaola Giglio
Paola Giglio

SCPD - interdisciplinarité

Bonjour, 


je travaille en tant qu’infirmière responsable d'équipe dans un petit EMS de psychiatrie de l'âge avancée en Suisse. Je fais actuellement un DAS et dans le cadre de mon travail de diplôme je souhaite monter un projet qui porte sur l'amélioration des pratiques sur la prise en charge des résidents avec SCPD. Je fais actuellement une collecte de données et un aspect dans lequel je crois fortement est l'interdisciplinarité. Autre que les infirmiers et les aides-soignants, je suis intéressée à tous qui concerne aussi le personnel hôtelier et les ASE. En effet ces collaborateurs rentrent quotidiennement en contact directe avec les résidents et du coup je pense que tous qui concerne la prévention avec une bonne communication, et la transmission des infos pertinentes aux infirmiers les concerne. 


Est-ce que vous êtes du même avis ?

Avez-vous des références, de la documentation qui porte sur ce sujet?

En effet tous…


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Bonjour,

merci pour votre réponse dont je me réjouis.

Avez vous des articles scientiphiques sur le sujet? Tous que je toruve dans la litterature concernent que le personel soignant.

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Cybele LabilloisCybele Labillois
Cybele Labillois

Utilisation de poupées et coins pouponnières

Bonjour,


J'aimerais obtenir de la documentation pertinente en lien avec l'utilisation de poupées et la création de coins pouponnières en CHSLD. De la documentation à l'intention des intervenants, mais aussi à l'intention des familles, qui craignent parfois l'infantilisation. J'ai tenté de cherche sur le site et sur le forum mais je n'ai pas trouvé. Merci à l'avance!

52 vues

C'est exact, mais quel est le nom du CHSLD? S'il fait partie d'un CISSS ou un CIUSSS, il est automatiquement abonné. Philippe

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