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Une étude récente menée en Allemagne sur 1 111 participants âgés de 60 ans et plus répond à cette interrogation. Les chercheurs ont comparé les performances cognitives de personnes sans symptômes, avec des symptômes subcliniques ou cliniques de dépression, à l’aide du MoCA (Montreal Cognitive Assessment). Résultat ? Aucune différence significative n’a été observée dans les scores totaux ni dans les sous-scores cognitifs entre les groupes.

Les chutes représentent une menace persistante pour la santé et la qualité de vie des personnes âgées vivant en centre d’hébergement. Malgré des décennies d’efforts consacrés à la prévention, 50 à 75% des résidents chutent chaque année. Un nouvel article publié dans JAMDA (2025) propose un changement de paradigme essentiel : intégrer l’atténuation des blessures à la stratégie de gestion des chutes.

La technologie est un allié précieux pour optimiser l’efficacité des soins à domicile. La télésurveillance des aînés atteints de maladies chroniques offre une solution prometteuse pour réduire les hospitalisations. Grâce aux objets connectés, il est possible de recueillir des données physiologiques pertinentes sur l’état de santé d’une personne. On pourrait supposer qu’avec ces données cliniques à portée de main, le personnel infirmier puisse facilement prendre des décisions

Que ce soit dans les manuels d’examen clinique ou les formations spécialisées, un consensus émerge : questionner le patient est une étape cruciale de l’évaluation et de la surveillance clinique. Les études soulignent même que le questionnement fournit plus de données cliniques pertinentes sur l’état de santé que l’examen physique seul. Mais comment intégrer efficacement cet interrogatoire dans le cadre de la télésurveillance à domicile?