Bonjour,
Dans une situation de résistance aux soins d’hygiène.
Quel doit être le positionnement infirmier entre le respect de l’autonomie du résident atteint de la maladie d Alzheimer et l’acte de bienfaisance (Príncipes éthiques).
Malgré toutes les interventions mises en place et la recherche des Facteurs occasionnant ces comportements, si l’expression de la résistance persiste, doit-t-on respecter ce choix pour autant que ce n’est pas dangereux pour la personne ?
Quelle est la limite entre la bientraitance et maltraitance dans une situation pareil?
En effet, si je contrains la personne à faire la toilette = maltraitante
si je ne fais pas sa toilette = négligence
tiago
Bonjour,
Voici ma réponse audio!
Texte soutenant le message audio
Le positionnement doit être éthique justement, car cela permet de prendre en compte l’ensemble des informations pertinentes pour prendre une décision.
- Résident
o Histoire de vie
o État de santé
o Risque pour sa santé
- Proche
o Consentement substitué
o Décision partagée
- Intervenants
o Compétences
o Qualité de l’évaluation
o Approches choisies
- Cadre légal
o Soins d’hygiène est une des rares activités possibles sans le consentement et sans le recours à la cour.
- Voir thèse de doctorat de Sylvie Rey
o https://corpus.ulaval.ca/entities/publication/4f197f12-5b8b-4f6c-885f-f6c5a4b71e23
Post antérieur sur ce sujet :
https://www.philippevoyer.org/forum/questions-generales/soins-d-hygiene-sans-consentement
et
https://www.philippevoyer.org/forum/questions-generales/droit-d-un-refus-malgre-consentement-signe-par-un-proche