Bonjour Philippe, Je me permets de te demander ton avis sur le sujet suivant. En 2020 , tu publiais un infolettre intitulé "Signes et symptômes de la COVID-19 et la fièvre gériatrique" dans lequel il était noté que "la fièvre gériatrique en situation de COVID-19 devrait se définir par une température de 37,6 en mesure unique ou par une élévation de >0,5 degré Celsius de la température basale habituelle du résident... " Or habituellement la fièvre gériatrique se définie comme suit: Une élévation de la température corporelle de 1,1 °C par rapport à la température corporelle de base ou Une température (buccale ou rectale) de 37,8 °C ou plus dans le cas où il n’y a aucune température moyenne calculée au dossier. Ma question : Considérant que nous ne sommes plus en contexte "d'urgence sanitaire" , malgré que la covid soit encore présente, sur quels critères de "fièvre gériatrique" devrions nous nous appuyer ? L'enjeu que nous vivons est, que le seuil de 37,6 génère plus d'isolements préventifs et de dépistages qui s'avèrent négatifs bien souvent. Merci de partager ton avis. Bonne journée

Bonjour Philippe, En lien avec le déploiement du projet OPUS-AP/PEPS dans nos CHSLD , nous sommes à outiller l'infirmière afin d'optimiser son rôle en lien avec la pharmacothérapie . Dans ton dernier volume "Soins infirmiers aux aînés en perte d'autonomie 3° édition", il y a plusieurs tableaux très intéressants que j'aimerais utilisés ( exemple le tableau 26.10- Résumé des étapes d ela surveillance de la pharmacothrapie et le tableau 26.11 -Contribution de la profession infirmière à la révision du profil pharmacologique) Si je cite adéquatement la source , est-ce possible d'extraire et d'utiliser certains tableaux contenus de ton livre pour en faire des outils de références pour nos infirmières ? Merci à toi et bonne journée

Allô Philippe, Dans un contexte d’admission en CHSLD, comme l’équipe qui accueille l’usager a déjà beaucoup d’informations qui lui sont transmises dès l’admission ,dans un soucis de ne pas dupliquer l’information et d’optimiser le temps de nos professionnels , est-il nécessaire , dans les bonnes pratiques, de procéder à la « collecte de données infirmière » à l’admission? Si oui est-ce qu’il y a des modèles sur lesquels je pourrais me baser? Sinon,nous avions pensé plutôt opter pour un aide-mémoire en s’inspirant de ton document « Processus d’admission adapté au rythme des résidents dans une perspective d’amélioration de la qualité de vie » Qu’en penses tu ? Merci de partager ton avis sur le sujet Bonne journée

Bonjour Philippe , J'ai une question en lien avec l'établissement de la température basale. Une fois que la température basale est établie, doit on répéter le processus à une fréquence déterminée ou est-ce qu'une fois établie ces mesures de référence demeurent fiables dans le temps ? Par exemple : J'ai un usager pour qui la basale a été déterminée lors de son dernier hébergement temporaire il y a un bon moment . Ces mêmes valeurs, recueillies lors de l'hébergement précédent, peuvent elles etre réutilisées ou doit on recommencer le processus ? Merci à toi bonne journée

Allô Philippe , Je me demandais si tu avais prévu développer du contenu de formation en lien avec l'évaluation et le suivi de la maladie de Parkinson (en référence au chapitre 5 du livre "soins infirmiers aux aînés en perte d'autonomie ). Je constate un réél besoin de la part des équipes. Merci à toi

Bonjour Philippe , j'espère que tu vas bien. J'ai recu une question et j'aimerais avoir ton avis sur le sujet. Dans une unité prothétique, est-ce qu'un appareil de mesure de la tension artérielle au poignet serait une alternative fiable pour nos résidents qui ne tolèrent pas l'appareil standard du fait que cela serre le bras (ce qui apporte de l'agressivité). D'après mes lectures,certains facteurs peuvent affecter le résultat:Avec l'âge, les vaisseaux sanguins peuvent rétrécir en raison de dépôts ou durcir suite à une artériosclérose.Il y a aussi des enjeux à utiliser cette méthode avec nos résidents diabétiques. Merci à toi .

Bonjour Philippe, On voit une augmentation de l'utilisation de caméras dans différents contextes et milieux .Souvent utilisée par manque de personnel. Parfois utilisée comme "mesure de remplacement " pour surveiller un usager a risque de chute. Parfois ce moyen est utilisé lorsqu'un usager est placé en chambre d'isolement (mesure de contrôle). Utiliser la caméra de surveillance soulève des enjeux éthiques et juridiques notamment: Il faut obtenir le consentement libre et éclairé comme pour toute autre mesure Faire la démonstration que la vidéosurveillance procure des bénéfices supérieurs aux atteintes à la vie privée. Comme tu as déjà fait un présentation portant sur les maisons des aînés je crois où l'utilisation des caméras étaient parfois appropriée, je me demandais dans quels contextes la caméra pourrait être envisagée, et quelles conditions préalables doivent etre remplies avant d'aller vers son utilisation? Comment l'utilisation de la caméra est elle balisée? Aussi,la personne mandatée d'assurer la surveillance par caméra doit elle consigner les informations observées au dossier de l'usager? La caméra qui ne couvre pas tous les angles de la pièce laisse une zone où l'usager ne sera pas surveillé.... merci et bonne journée

Bonjour Philippe , nous aimerions utiliser l'UPDRS qui est présenté dans la 3° édition de Soins infirmieres aux aînées en perte d'autonomie (page 86-89) pour en faire un formulaire CISSS BSL . Est ce que nous avons l'autorisation de l'utiliser en indiquant le source ? merci

Bonjour Philippe, Comme l'INSPQ nous demande d'Implanter une surveillance au moins une fois par jour de la fièvre chez les usagers en CHSLD ,et ce, depuis plusieurs mois nous aimerions trouver une alternative moins "agressante" pour nos usagers .Il existe des fournitures moins invasives qu'un thermomètre qui permettraient de prendre la température rectale . Il s’agit de petites bandelettes, est-ce une méthode fiable ? est-ce une alternative acceptable ? merci